Section de la physique

Les principaux domaines de travail de cette Section sont notamment l’utilisation des accélérateurs de particules, les applications des réacteurs de recherche, l’instrumentation nucléaire et la recherche et la technologie relatives à la fusion nucléaire. Ses activités s’inscrivent dans le cadre du programme relatif à l’énergie d’origine nucléaire, au cycle du combustible et aux sciences nucléaires de l’AIEA.

Appui aux États Membres dans le domaine des sciences et technologies nucléaires avancées

La Section aide les États Membres à promouvoir les produits et les services que peuvent fournir les accélérateurs et les réacteurs de recherche, et à mettre au point des stratégies en faveur de leur exploitation durable. Elle appuie la facilitation de l’accès aux accélérateurs et aux réacteurs de recherche, en particulier, pour les États Membres de l’AIEA ne disposant pas de telles installations.

Dans le domaine de l’instrumentation nucléaire, la Section de la physique apporte son concours aux États Membres de l’AIEA pour le choix, l’utilisation et la maintenance d’instruments adaptés à leurs activités nucléaires. En outre, elle gère le Laboratoire des sciences et de l’instrumentation nucléaires établi à Seibersdorf, qui appuie les États Membres et leurs laboratoires grâce à la formation, la recherche et des services d’analyse.

L’énergie de fusion, une énergie d’avenir

Les scientifiques à travers le monde travaillent à la création d’énergie à partir de la fusion nucléaire contrôlée. La Section de la physique apporte une assistance aux États Membres de l’AIEA pour l’échange et le renforcement des connaissances scientifiques et techniques dans ce domaine, dans le but d’établir une base scientifique pour l’utilisation de cette technologie, à l’avenir, dans la conception et la construction de centrales à fusion. Ces connaissances couvrent un large éventail de sujets, y compris la physique des plasmas, la recherche sur les matériaux et différentes technologies. L’AIEA œuvre dans ce domaine en collaboration avec l’Organisation internationale ITER pour l’énergie de fusion, créée en octobre 2007 et chargée de construire la plus grande machine de fusion magnétique expérimentale au monde, dans le Sud de la France.

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